Réponse à la question : Ces petits bobos ?
Ne prenez rien à la légère, et tant pis si on vous traite de chochotte ! Je me suis enlevé un minuscule bout de peau sur un doigt, tout près de l'ongle . C'était rouge, mais évidemment le sempiternel "ça va passer" est incrusté dans mon esprit. Pas bon, je suis passée voir ma généraliste, urgences directes, chirurgie le lendemain, le "petit bobo" était devenu un botriomycôme !
Il s'agit d'un joueur de rugby qui était très célèbre il y a 20 ans.
"Je n'ai aucun souvenir d'un match de rugby" : Sébastien Chabal se confie sur son amnésie
La star du rugby français des années 2000, 47 ans, estime que ses pertes de mémoire sont dues aux chocs qu'il a reçus sur le terrain(1).
On sait que la maladie d'Alzheimer entraine des pertes de mémoire, mais cela concerne la plupart du temps des personnes plus âgées. Il est difficile d'en juger, mais le sportif semble avoir des symptômes un peu différent qui le rendent plus lucide à part ces pertes de mémoires. Je ne connais pas Sébastien Chabal, mais il est possible qu'il ait oublié ce qui est la période la plus extraordinaire de sa vie. Voici ce que cela peut inspirer comme questions.
Slate titre :
Un agriculteur auvergnat découvre un gisement d'or d'une valeur de 4 milliards d'euros dans son jardin (1)
Slate précise que cela été repéré sur Daily Galaxy (2)
Daily Galaxy fait référence à une publication sur un site web français peu connu (de moi) : Atelier de France (3)
En recherchant je ne trouve rien d'autre, qu'en pensez-vous ?
Réponse à la question : Vers la généralisation de la surveillance des comportements ?
Connaissez-vous l'idée de Panoptique ?
Le Panoptique, à la base, c'est une architecture carcérale qui permet au gardien d'observer tous les prisonniers. On retrouve souvent cette architecture dans les structures des prisons de science-fiction, par exemple.
L'idée est que le détenu doit se sentir surveillé, sans réellement savoir s'il l'est.
(Par I, Friman, CC BY-SA 3.0, File:Presidio-modelo2.JPG - Wikimedia Commons)
Bon, quel est le rapport avec l'idée de généralisation de la surveillance ? Et bien aujourd'hui, nous allons de plus en plus vers un panoptique numérique. L'évolution des technologies, la duplicité humaine, nous y mènent. Et nous y participont.
Continuer à lireRéponse à la question : Vers la généralisation de la surveillance des comportements ?
C'est pas mal déjà généralisé, à mon avis. Depuis les attentats du 11 septembre, il y a des caméras qui ont « poussé » partout, et personne ne s'y est opposé pour des raisons de sécurité. Mais de nombreuses études ont montré que les caméras n'améliorent pas nécessairement la sécurité. Il y a maintenant des dispositifs de reconnaissance faciale dans les manifestations. Sans compter les médias sociaux qui constituent un outil de surveillance massif, mais auxquels les gens sont heureux de participer et qu'ils alimentent eux-mêmes en publiant des tonnes de photos d'eux-mêmes. Les compagnies d'assurances se servent d'ailleurs des médias sociaux pour refuser de verser des indemnités sur la foi de photos sur les réseaux sociaux. Et que dire des tests d'ADN qui donnent notre essence même à des compagnies qui les partagent par la suite avec la police ou des compagnies d'assurance. Il y a un épisode de Black Mirror sur cette surveillance par les médias sociaux et ses effets pervers sur nos vi...
Continuer à lireRéponse à la question : Quelles œuvres de fiction ont bien parlé des problèmes de santé mentale ?
Vol au-dessus d'un nid de coucou, Rainman, Atypique, 37,2 le matin
En ce moment, un petit drame agite la sphère tech : deux développeurs influenceurs français se déchirent publiquement sur YouTube et LinkedIn. Pour résumer brièvement la situation : chacun vend des formations à plusieurs centaines d’euros, et l’un accuse l’autre de l’avoir copié.
Or, il semblerait qu’ils aient en réalité tous les deux fortement « emprunté » à une autre formation américaine… parfois presque à l’identique.
Dans cette bataille, l’un des deux a également admis copier et traduire régulièrement des publications LinkedIn initialement rédigées en anglais, sans jamais mentionner les auteurs d’origine. Ses abonnés justifient cette pratique en disant qu’elle permet de diffuser l’information plus largement et de gagner du temps, que ce n’est pas vraiment du plagiat, puisqu’il s’agit de simples publications sur un réseau social, et non d’une thèse ou d’un ouvrage.
Cela me rappelle l’époque où, sur Quora, un contributeur très populaire co...
Continuer à lireRéponse à la question : Remake impossible, ou remake réussi ?
J'ai de plus en plus de mal avec les remakes.
Quand il s'agit de refaire un film avec des moyens actuels, pour rénover les effets spéciaux, par exemple, pourquoi pas ? Mais qu'on essaye de moderniser un film dans son message ou sa vision, cela me dérange. Un film est une œuvre et à ce titre elle s'inscrit dans son époque et son contexte.
J'ai appris récemment qu'un remake de "La Guerre des Roses", film avec Michael Douglas et Kathleen Turner devait se faire. Pourquoi ? Le film d'origine est suffisant.
Le remake, pour moi, c'est la facilité scénaristique. Plutôt que d'inventer, on recycle.
Après, rappelons que certains remakes dépassent les films originaux. Si je vous dis Scarface, vous pensez De Palma, et vous avez raison. Mais c'est un remake d'un film d'Howard Hawks de 1932. Mais dans la très grande majorité des cas, c'est le film d'origine qui est meilleur.
Idem pour The Thing de Carpen...
Continuer à lireRéponse à la question : Des indices de vie détectés dans l’atmosphère d’une exoplanète 🔭
Bon...
K2-18b est serait une planète rocheuse géante, 8 fois la masse de la Terre (mais on n'exclut pas qu'elle soit plutôt une "mini neptune", ce qui réglerait la question)
Elle est en orbite rapprochée d'une naine rouge, donc :
https://fr.wikipedia.org/wiki/K2-18_b
Et pour clore le débat...
Ce site mentionne trois erreurs (héneaurmes) concernant cette "découverte" :
Le terme ostalgie marie les mots allemands « Ost » (Est) et « nostalgie ». Il exprime la nostalgie ressentie par certaines personnes à l'égard de la RDA, englobant des souvenirs d'enfance, des marques emblématiques de l'époque, un esthétisme particulier, ainsi qu'un système économique et social radicalement différent du capitalisme actuel.
L'article francophone de Wikipédia est plutôt complet à ce sujet : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ostalgie
L'article germanophone est encore plus détaillé : https://de.wikipedia.org/wiki/Ostalgie
Trabant photographiée dans mon quartier.
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J'en ai entendu parler, et le principal regret de ces personnes est pour un système social plus juste, non-compétitif. Une certaine déception donc en découvrant l'Allemagne capitaliste de l'Ouest.
Il ne faudrait toutefois pas penser que c'est un sentiment général chez tous les anciens Allemands de l'est:
-Certainement pas pour la quasi totalité des femmes qui ont connu 1945, pratiquement toutes violées dans la zone d'occupation soviétique. Certaines doivent être encore vivantes, si on admet que les plus jeunes avaient 10 ans à l'époque.
-La relative misère a fait que beaucoup ont tenté de rejoinde l'Ouest par différent moyens rocambolesques, souvent dangereux: tunnels, passage du mur au bulldozer, etc.. Plusieurs dizaines ont été assassinées par les gardes.
-Le manque d'opportunités, la répression et la censure politique rendaient la vie difficile, en particulier pour les intellectuels.
-La STASI en particulier était une association de sociopathes qui s'amusaient à harceler des gens au hasard: refus de droits, accès réduit au travail, isolation sociale (zerzetsung) en instillant des calomnies auprès de la famille et des amis, etc. A la libération, beaucoup de victimes ont été surprises de se trouver sur les listes de cibles de la STASI.
Tous ceux-là ne regrettent pas la RDA.
Dans Secnd Life j'ai vu une région "Berlin Est" offrant une expérience visuelle: HLMs gris, moroses et décrépits,rues vides peuplées de quelques Trabants. Je ne sais pas si cette région y est toujours.
Je crois que je sais d'où peut venir cette nostalgie.
Quand j'étais enfant nous allions souvent en vacances dans des conditions matériellement moins confortables qu'à la maison, un camping qui n'était pas aussi confortable que ceux de nos jours par exemple. Nous étions plus entassé que d'habitude et obligés de partager beaucoup de choses, mais pour moi ce sont de très bons souvenirs. Le soir on jouait en famille, ou les parents racontaient leur histoire. C'était une ambiance chaleureuse, et entres voisins partageant le même type de lieu de vacances il y avait une bonne entre-aide.
De temps en temps on pouvait consommer une glace en cornet, et la qualité devait être très inférieur à ce qu'on a de nos jours, mais qu'est-ce que c'était bon !
Pour jouer comme un enfant dehors il fallait trouver des arbres, de l'eau, du sable ou des cailloux. On en trouvait facilement, c'était gratuit, et on pouvait jouer des heures sans se lasser. De nos jours les jeux consistent souvent à ce que chacun se penche sur son écran personnel et s'installe dans sa petite bulle. Cela revient beaucoup plus cher, mais est-ce beaucoup mieux ?
Les conditions devaient être matériellement plus rustiques en Allemagne de l’Est, et il y avait une dictature et un état policier, mais également beaucoup plus de chaleur humaine et d'entre-aide. Il est normal d'être nostalgique de ces moments là. Ce souvent ceux où on se forge de bons souvenirs et où on se fait des amis.
L'argent ne suffit pas à acheter la chaleur humaine...
Ah, non. Je n’en avais pas entendu parler. Un mot rare. Au moins j’en ai appris un nouveau mot 😉.