L'écriture manuelle décroît. C'est sûr.

En revanche l'apparition du numérique a re-boosté l'écrit que le téléphone avait fait reculer.

Je considère la jalousie davantage comme un manque de confiance que comme une marque d’amour. Un manque de confiance en soi, envers son ou sa partenaire, ou les deux à la fois.

Si la jalousie est motivée par la peur de perdre l’autre, c’est soit qu’on ne se sent pas assez bien, soit qu’on doute de la loyauté et de la fidélité de l’autre. En tout cas, cela me semble plutôt être le signe d’un déséquilibre dans la relation, surtout si cette jalousie devient problématique.

Ma peur de perdre celui que j’aime est plutôt liée à la mort. Et comme la vie est courte et souvent imprévisible, je préfère profiter des doux moments passés à ses côtés.

Je dirais même que c’est parce que je suis dans une relation saine, où nous nous respectons et nous soutenons mutuellement, et dans laquelle je me sens en sécurité, que je ne ressens pas de jalousie et que je vis l’amour sereinement.

Je n’ai pas d’histoire particulière à raconter, mais je sais que les anglophones aiment cuisiner et manger de jolies tartes bien rondes le jour de Pi, en référence au jeu de mots avec « pie », qui se prononce de la même manière. 🥧

C'est un sujet du film "Divergente"(1).

Au lieu de "Parcoursup" un test classe les jeunes dans un des cinq catégories possible, mais peut ne pas être concluant.

- Une personne peut se trouver qualifiée pour plusieurs filières

- Ceux qui échouent deviennent des "sans faction", en marge de la société.

Dans le film tout n'est pas rose.

L'orientation est un sujet complexe, et cela ne concerne pas que le moment du choix de filière d'étude après le lycée. Avant de savoir comment faire pour diminuer le risque de déception de ceux qui en sont à cette étape, il faudrait identifier les questions prioritaires à traiter.

Le plus important dans les études n'est pas le cursus que l'on choisi. Une enquête de l'INSEE a eu pour résultat :

En un an, un salarié sur six change de métier (2)

C'est important de faire des études, mais bien souvent on ne va pas travailler dans le domaine que l'on a étudié après le BAC. En revanche si on apprend à avoir du plaisir à suivre et réussir ses études, ce sera une expérience positive qui servira toute la vie.

Les sondages ont forcément leur limite, mais les résultats de celui-là me semblent valables.

Les critères en matière d'orientation : l'attrait pour une filière et l'épanouissement personnel en tête de liste (3)

Les deux questions prioritaires à traiter sont donc d'aider les étudiants à déterminer pour quelle filière ou métier ils ont un goût personnel, et comment leur choix pourra contribuer à leur épanouissement personnel.

On pourrait changer l'application Parcoursup, qui a de nombreux défauts, pour qu'elle tienne compte en priorité de ces éléments.

(1) https://fr.wikipedia.org/wiki/Divergente

(2) https://www.insee.fr/fr/statistiques/2650453

(3) https://www.letudiant.fr/lycee/barometre-l-etudiant-bva-2023-plus-d-un-jeune-sur-deux-se-sent-bien-accompagne-dans-ses-choix-d-orientation.html

Mettons que la jalousie soit un sentiment de mal-être quand on a l'impression qu'une personne aimée est en relation de séduction avec une autre personne.

Si on est au stade de la parade amoureuse initiale, il est normal de se sentir déçu, et donc de ressentir du mal-être, si la personne objet de notre attention semble choisir une autre personne. Cela ne justifie pas une réaction agressive.

Si c'est une relation bien établie, on laisse un espace d'autonomie à l'autre qui pourrait en théorie lui permettre d'avoir des relations avec une autre personne. Cela permet d'avoir une relation où tout le monde se sent bien, et donc qui a plus de chance de durer.

Super ! Merci pour les ajouts et le développement.

Bravo !

Je vais essayer tout cela...

Une chose m'interpelle dans cette opinion : la découverte de cet état de fait.

Car je ne vois aucune différence entre ce qui est dit dans le livre et autrefois.

Mon souci est de rattaché cela à l'Humanité. Car l'Humanité qui lit, c'est 200 ans (car l'alphabétisation des masses n'est pas plus ancienne), sur 100 000 ans d'existence.

alors oui, les réseaux, les machines, poussent aujourd'hui l'humanité lettrée à la dispartion. On va retrouver la situation d'avant l'alphabétisation de masse : une vaste population peu éduquée et quelques personnes très éduquées qui continueront de lire et de réfléchir.

Mais le problème vient de l'inadéquation entre les systèmes politiques et cette future situation d'abêtissement des masses.

Et alors qu'auparavant le système politique se fichait bien de l'avis de cette vaste population, aujourd'hui c'est cette vaste population qui octroie le pouvoir.

Attention, je considère la démocratie comme un système tout à fait fonctionnel, mais les évolutions de la société, avec la chute de l'écrit, l'accent mis sur les faits divers plus que les analyses, font que le système actuel ne peut que pousser au césarisme, comme nous l'ont montré les USA.

Personnellement, je pense que l’idée d’utiliser l’intelligence artificielle pour guider les élèves dans leur orientation peut être pertinente, mais pas en se basant sur les données des élèves précédents et de leur parcours. Il vaudrait mieux s’appuyer sur des critères comme la personnalité de l’élève, ses aspirations, ses capacités, ainsi que l’évolution du marché et des besoins de la société.

Se baser sur les dossiers des années précédentes, c’est prendre le risque de perpétuer certains biais et frustrations, voire même de les renforcer. Par exemple, en France, les femmes sont encore découragées de poursuivre certaines carrières dans l’informatique ou les sciences. Les élèves issus de certaines classes sociales sont davantage orientés vers les lycées professionnels. J’ai moi-même vécu ces deux biais qui m’ont fait perdre énormément de temps dans mon parcours scolaire et professionnel.

L’outil basé sur l’intelligence artificielle n’a même pas besoin de connaître le genre ou la classe sociale de l’élève pour intégrer ces biais. Ils transparaissent déjà dans la manière dont l’élève est encouragé en cours puis évalué dans ses notes.

Il n’y a aucun intérêt à utiliser l’intelligence artificielle si c’est pour reproduire des biais humains actuels ou passés. Au contraire, elle devrait servir à les dépasser, à déceler des talents, à anticiper les besoins globaux et à proposer des filières auxquelles un élève n’aurait peut-être jamais pensé. Et là, on entre dans la conception d’un outil bien plus complexe, mais aussi bien plus intéressant.

Quant aux noms, je trouve que les prénoms féminins en -a comme Alexa, Cortana, Lydia, Julia ou Ulla commencent à être un peu surannés. 😅

Grâce à cette question, je me rends compte que je n’ai jamais été une grande cinéphile. 😅

Il n’y a donc pas vraiment de film qui m’ait marquée pendant mon enfance, mais je peux citer quelques films que j’ai vaguement appréciés.

J’avais un poster d’E.T. dans ma chambre, et je trouvais ce personnage mignon. Je n’ai pas trouvé le film exceptionnel, mais je m’intéressais à la vie sur d’autres planètes et j’aimais imaginer à quoi elle pouvait bien ressembler. Dans les années 90, les gens voyaient souvent des soucoupes volantes, et ça faisait l’objet de reportages aux informations ou dans des émissions dédiées. J’étais plutôt agnostique, mais je n’aurais pas été contre une observation personnelle.

Un peu plus tard, j’ai apprécié Les Visiteurs. J’ai trouvé ce film drôle et plutôt bien pensé. J’ai aimé l’exercice de réflexion autour d’une rencontre entre une civilisation du Moyen Âge et celle d’aujourd’hui.