Le site 20minutes.fr a réalisé un article à ce sujet(1).
L’idée de la formation de Premiers secours en santé mentale (PSSM) n’est pas de venir en aide aux personnes faisant un arrêt cardiaque, s’étouffant ou se brûlant mais à des proches ou des collègues vivant une crise suicidaire, psychotique, un trouble panique ou une dépression.
Un acronyme sera répété en boucle pendant les deux jours de formation : AERER. Un résumé de la mission des secouristes : Approcher la personne, évaluer la situation et l’assister en cas de crise (psychotique ou suicidaire notamment). Puis l’Ecouter sans jugement, la Réconforter, l’informer, l’Encourager à aller voir un professionnel de la santé mentale et la Renseigner sur les autres ressources possibles.
Qu'en pensez-vous ?
(1)
Continuer à lireRéponse à la question : Ces petits bobos ?
Ne prenez rien à la légère, et tant pis si on vous traite de chochotte ! Je me suis enlevé un minuscule bout de peau sur un doigt, tout près de l'ongle . C'était rouge, mais évidemment le sempiternel "ça va passer" est incrusté dans mon esprit. Pas bon, je suis passée voir ma généraliste, urgences directes, chirurgie le lendemain, le "petit bobo" était devenu un botriomycôme !
Il s'agit d'un joueur de rugby qui était très célèbre il y a 20 ans.
"Je n'ai aucun souvenir d'un match de rugby" : Sébastien Chabal se confie sur son amnésie
La star du rugby français des années 2000, 47 ans, estime que ses pertes de mémoire sont dues aux chocs qu'il a reçus sur le terrain(1).
On sait que la maladie d'Alzheimer entraine des pertes de mémoire, mais cela concerne la plupart du temps des personnes plus âgées. Il est difficile d'en juger, mais le sportif semble avoir des symptômes un peu différent qui le rendent plus lucide à part ces pertes de mémoires. Je ne connais pas Sébastien Chabal, mais il est possible qu'il ait oublié ce qui est la période la plus extraordinaire de sa vie. Voici ce que cela peut inspirer comme questions.
Slate titre :
Un agriculteur auvergnat découvre un gisement d'or d'une valeur de 4 milliards d'euros dans son jardin (1)
Slate précise que cela été repéré sur Daily Galaxy (2)
Daily Galaxy fait référence à une publication sur un site web français peu connu (de moi) : Atelier de France (3)
En recherchant je ne trouve rien d'autre, qu'en pensez-vous ?
Réponse à la question : Vers la généralisation de la surveillance des comportements ?
Connaissez-vous l'idée de Panoptique ?
Le Panoptique, à la base, c'est une architecture carcérale qui permet au gardien d'observer tous les prisonniers. On retrouve souvent cette architecture dans les structures des prisons de science-fiction, par exemple.
L'idée est que le détenu doit se sentir surveillé, sans réellement savoir s'il l'est.
(Par I, Friman, CC BY-SA 3.0, File:Presidio-modelo2.JPG - Wikimedia Commons)
Bon, quel est le rapport avec l'idée de généralisation de la surveillance ? Et bien aujourd'hui, nous allons de plus en plus vers un panoptique numérique. L'évolution des technologies, la duplicité humaine, nous y mènent. Et nous y participont.
Continuer à lireRéponse à la question : Vers la généralisation de la surveillance des comportements ?
C'est pas mal déjà généralisé, à mon avis. Depuis les attentats du 11 septembre, il y a des caméras qui ont « poussé » partout, et personne ne s'y est opposé pour des raisons de sécurité. Mais de nombreuses études ont montré que les caméras n'améliorent pas nécessairement la sécurité. Il y a maintenant des dispositifs de reconnaissance faciale dans les manifestations. Sans compter les médias sociaux qui constituent un outil de surveillance massif, mais auxquels les gens sont heureux de participer et qu'ils alimentent eux-mêmes en publiant des tonnes de photos d'eux-mêmes. Les compagnies d'assurances se servent d'ailleurs des médias sociaux pour refuser de verser des indemnités sur la foi de photos sur les réseaux sociaux. Et que dire des tests d'ADN qui donnent notre essence même à des compagnies qui les partagent par la suite avec la police ou des compagnies d'assurance. Il y a un épisode de Black Mirror sur cette surveillance par les médias sociaux et ses effets pervers sur nos vi...
Continuer à lireRéponse à la question : Quelles œuvres de fiction ont bien parlé des problèmes de santé mentale ?
Vol au-dessus d'un nid de coucou, Rainman, Atypique, 37,2 le matin
Réponse à la question : Quels sont vos guides de vacances et de visites ?
J'utilise souvent les guides Lonely Planet, mais j'aime beaucoup les guides Moon (mais ils sont plus difficiles à trouver). Évidemment, Internet est utile. Je m'abonne à des pages FB et je consulte les sites touristiques officiels, des blogues de voyageur, etc. Et sur place, j'aime bien les visites guidées de Get your guide ou de Greeters. À Vienne à l'automne, nous avons eu une guide Greeters de 88 ans très allumée qui nous a fait faire une visite hors des sentiers battus ;-)
En ce moment, un petit drame agite la sphère tech : deux développeurs influenceurs français se déchirent publiquement sur YouTube et LinkedIn. Pour résumer brièvement la situation : chacun vend des formations à plusieurs centaines d’euros, et l’un accuse l’autre de l’avoir copié.
Or, il semblerait qu’ils aient en réalité tous les deux fortement « emprunté » à une autre formation américaine… parfois presque à l’identique.
Dans cette bataille, l’un des deux a également admis copier et traduire régulièrement des publications LinkedIn initialement rédigées en anglais, sans jamais mentionner les auteurs d’origine. Ses abonnés justifient cette pratique en disant qu’elle permet de diffuser l’information plus largement et de gagner du temps, que ce n’est pas vraiment du plagiat, puisqu’il s’agit de simples publications sur un réseau social, et non d’une thèse ou d’un ouvrage.
Cela me rappelle l’époque où, sur Quora, un contributeur très populaire co...
Continuer à lireEn ce moment, un petit drame agite la sphère tech : deux développeurs influenceurs français se déchirent publiquement sur YouTube et LinkedIn. Pour résumer brièvement la situation : chacun vend des formations à plusieurs centaines d’euros, et l’un accuse l’autre de l’avoir copié.
Or, il semblerait qu’ils aient en réalité tous les deux fortement « emprunté » à une autre formation américaine… parfois presque à l’identique.
Dans cette bataille, l’un des deux a également admis copier et traduire régulièrement des publications LinkedIn initialement rédigées en anglais, sans jamais mentionner les auteurs d’origine. Ses abonnés justifient cette pratique en disant qu’elle permet de diffuser l’information plus largement et de gagner du temps, que ce n’est pas vraiment du plagiat, puisqu’il s’agit de simples publications sur un réseau social, et non d’une thèse ou d’un ouvrage.
Cela me rappelle l’époque où, sur Quora, un contributeur très populaire copiait allègrement des articles du Figaro, du Parisien, de blogs variés ou encore des réponses anglophones, sans jamais citer les auteurs. Signaler ses plagiats pouvait même susciter une certaine hostilité de la part de certains de ses admirateurs.
Et bien sûr, difficile de ne pas penser à l’affaire CopyComic : plusieurs humoristes francophones avaient été pris la main dans le sac, reprenant intégralement des blagues d’humoristes anglophones, parfois au point que leurs spectacles entiers n’étaient qu’un assemblage de plagiats.
La vidéo ci-dessous est intéressante car elle ne montre pas seulement les cas flagrants (nombreux sur le sujet), mais met en lumière des cas plus subtils, à la frontière entre inspiration et copie.
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À mon avis, même une inspiration devrait créditer l’auteur original, peu importe la manière : préface, quatrième de jaquette, ou interview. Sinon, c’est un plagiat.
Sur les réseaux sociaux, c’est facile de créditer avec un simple # ou @, sauf si la référence est évidente, par exemple si l’original est bien connu.
J’ai détecté un plagiat qui n’a pas été constaté par les critiques de cinéma : Deux Moi (https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=268136.html) de Cédric Klapisch est pour moi un plagiat de Medianeras (https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=112440.html)
Le plagiat, c'est reprendre une oeuvre à l'identique ou presque sans faire preuve de créativité ni de nouveauté et le faire passer pour sien. Et oui, prendre un texte d'une autre personne et la publier sur les réseaux sociaux sans le mentionner, c'est du plagiat. On peut même s'autoplagier en reprenant une oeuvre écrite pour un média et en le proposant à un autre média mot pour mot sans le mentionner et sans ouvrir ou fermer les guillemets. Je suis toujours sidérée de voir à quel point les gens, même très instruits, ne savent pas ce qu'est le plagiat. Ça montre une grosse lacune dans le système d'éducation, à mon avis.
Une inspiration, c'est de tomber sur une information ou une vidéo et de s'en servir comme base grossière pour ensuite développer. Le plagiat serait de prendre à l'identique ou presque et s'attribuer le travail.
Les courtes vidéos, c'est le règne du plagiat. Tous vole le contenu en partage des extraits ou entièrement. Ajout la mention (dm for credit or removal) et hop.
Exemple d'une inspiration avec des ajouts et citation de ma part. Qui ne ressemble en rien à contenu de la vidéo sauf dans les quelques images que j'ai attribuées à l'auteur et une ou deux citations. J'ai été chercher le complément sur le site de l'auteur du programme (et non de la vidéo).
Absolument, si je prends ta réponse et que je copie le contenu, que même, je le traduis sans en modifier clairement le contenu. Et que je ne mets pas en bloc de citation ou au minimum "". Je m'attribue un travail qui n'est pas le mien. Même les réponses ia quand je prends un extrait, elles sont en bloc de citation.
Aux USA, il y a le Fair use Policy.
https://en.wikipedia.org/wiki/Fair_use?wprov=sfla1
L'ia en est un. Elle régurgite du contenu qui n'était pas libre ou dont les droits ont été mal expliqués ou autorisés par défaut.
L'exemple de Quora qui active l'option d'utilisation de nos données sans vraiment en informer clairement l'utilisateur (en tout cas, je m'en souviens pas) et leur définition affichée n'est pas clair pour le quidam.
Modèle de langue important ?
Pour un néophyte, ça ne dit rien. Et le en savoir plus ?
Ne dit à aucun moment qu'il s'agit de former des IA comme ChatGPT.
Édit : en fait, c'est spécifié si on suit un lien en bas de page. Mais ça devrait être mentionné directement sur la page qui s'affiche lorsque l'on clique sur en savoir plus.
https://help.quora.com/hc/en-us/articles/15204996933780-What-are-LLMs-and-how-does-Quora-use-them
Pourtant, c'est ça. Et tu parles de modèle de langue à une personne, il ne comprend pas. Tu parles que son contenu sera utilisé pour former des IA comme ChatGPT. Là ça parle tout de suite.
Pareil pour Meta qui impose que tout votre contenu entraîne leur IA. Et leur intégration dans WhatsApp est mal fichue, car tant que vous ne cliquez pas sur leur icône ou la barre de recherche. Il n'y a pas de soucis. Du moment que vous cliquez, vos interactions avec son enregistrée. Et possiblement vos messages si vous vous servez de l'option. Comme indiqué ici :
Seuls les messages qui mentionnent @Meta AI ou que les utilisateur·ices choisissent de partager avec Meta AI peuvent être lus par Meta. Meta ne peut pas lire les autres messages de vos discussions personnelles.
Vous n'avez que peu de temps pour vous opposer. Avant le début d'utilisation de vos données. Après, vous pouvez, mais les données auront déjà été exploitées et seules les nouvelles données ne le seront pas.
Meta entend utiliser vos données pour entraîner son Intelligence artificielle (IA), et vous avez seulement jusqu'au 27 mai pour vous y opposer.
Vos publications, vos photos et leur légende ainsi que les commentaires que vous publiez sont concernés. De même – sauf pour Whatsapp – que les requêtes et questions envoyées à Meta AI, le robot conversationnel disponible depuis fin mars en Suisse sur les applications de la multinationale américaine. A moins que les utilisateurs ne s'y opposent formellement.
Le fameux système opt-out :
Ce système où le consentement est donné par défaut, en anglais opt-out, n'est pas du goût de Sébastien Fanti: «L'opt-out n'est pas conforme, parce qu'il repose sur la responsabilité individuelle
Le formulaire :