Ah ! Pi day ?

Question

Ah ! Pi day ?

Answer 1

L'écriture manuelle décroît. C'est sûr.

En revanche l'apparition du numérique a re-boosté l'écrit que le téléphone avait fait reculer.

Answer 2

Une chose m'interpelle dans cette opinion : la découverte de cet état de fait.

Car je ne vois aucune différence entre ce qui est dit dans le livre et autrefois.

Mon souci est de rattaché cela à l'Humanité. Car l'Humanité qui lit, c'est 200 ans (car l'alphabétisation des masses n'est pas plus ancienne), sur 100 000 ans d'existence.

alors oui, les réseaux, les machines, poussent aujourd'hui l'humanité lettrée à la dispartion. On va retrouver la situation d'avant l'alphabétisation de masse : une vaste population peu éduquée et quelques personnes très éduquées qui continueront de lire et de réfléchir.

Mais le problème vient de l'inadéquation entre les systèmes politiques et cette future situation d'abêtissement des masses.

Et alors qu'auparavant le système politique se fichait bien de l'avis de cette vaste population, aujourd'hui c'est cette vaste population qui octroie le pouvoir.

Atten...

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Answer 3

A24, c'est ce studio qui commence à se faire une place. Mélangeant film indépendant et film à budget, il apparaît souvent comme des propositions de cinéma, souvent à concept. Bien que parfois, ce soit juste des histoires atypiques.

D'abord quelques mentions honorables:

Moonlight, sur l'évolution d'un afro-américain de sa jeunesse au début de l'âge adulte. Très bien réalisé, très belle histoire. Pearl, qui montre qu'on peut faire une suite d'un film d'horreur très intéressant, bien qu'il montre quelques limites, notamment sur le fait qu'il en fasse un peu trop. Héréditaire, un bon film d'horreur, portée par une réalisation où l'ambiance cauchemardesque est très bien retranscrite. The Florida project, un très bon film sur la marginalité, et où on montre une Amérique désœuvrée, et en quête de sens

Voici quelques films très intéressants de ce studio:

Close:

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Answer 4

Ici en Cevennes on trouve énormément de châtaignes. Mais issues de " bouscasses". C'est à dire de rejets poussés au pied du fut principal mort ou coupé du temps de la coupe des châtaigners pour l'extraction du tanin.

On a donc le fruit du porte-greffe né des hasards de la fécondation. Le fruit est donc rarement bon. Pareil pour les fruits des " cabasses" qui ont poussé spontanément et n'ont pas été greffés.

Les gros arbres greffés se font rares. Maladies ( encre et chancre) et changement climatique.

Ce n'est pas toujours clair pour tout le monde: on greffe un arbre pour être sur du patrimoine génétique du fruit obtenu. Le greffon est donc un clone, prélevé sur un arbre lui-même greffé. Un type un jour a créé une variété ou l'a obtenu par hasard et c'est depuis la même variété qui passe d'arbre en arbre.

Il n'y a guère qu'avec les pêches qu'on peut obtenir des arbres donnant des fruits corrects car le pêcher est auto-fertile . Il se féconde lui même .

Answer 5

Des tripes!! 😁

Answer 6

Bonjour,

Je suis un peu surpris !

Je ne mange JAMAIS de Burger et très rarement des pizzas.

Je voyage beaucoup, y compris en France, et je n'ai aucun mal à trouver des restaurants "classiques"

En revanche, je suis d'accord, il y a un fleurissement pour ne pas écrire une avalanche de restaurant Burger, Pizzas, sans oublier les Kebabs dans toutes les régions françaises, mais, à ce jour du moins, je n'ai encore jamais été obligé de me rabattre dessus.

Bon il est vrai que les tarifs ne sont pas les mêmes, mais si on compte l'économie faite pour éviter de prendre des abonnements à "Comme j'aime" ou des traitements anti cholestérols, on s'y retrouve ;-)

Answer 7

Oui, le burger et la cuisine "fusion de pacotille" sont à la mode, faut bien plaire aux plus jeunes ma bonne dame.

Mais on trouve toujours de la cuisine de tradition française et des produits locaux. Je ne veux pas faire de réclame ici, ce n'est pas la vocation du site, mais si vous êtes entre Blois et Tours, un mp vous vaudra en retour quelques adresses...

Answer 8

On peut trouver des offres de nourriture rapide en grand nombre dans certaines zones, mais il me semble que ce sera plus diversifié que simplement des pizzas et des burgers.

Si je visite à plusieurs un coin de France, et qu'il est l'heure de manger, je constate dans les endroits touristiques une profusion d'offres variées.Voici une liste parmi d'autres de produit plus ou moins typiques, sous forme d'image https://www.france-hotel-guide.com/fr/blog/plats-francais-typiques/.

Image sans description

C'est peu par rapport à tout ce que l'on peut trouver. Il n'y a qu'à penser aux charcuteries, aux fromages, aux champignons, aux fruits de mer, aux desserts de toute sorte, aux boissons chaudes et froides... et on peut accumuler facilement des milliers de noms sur la liste. En plus il y a une capacité à intégrer des plats venus du monde entier qui ne sont pas réalisés et servis de la même manière en France que dans leur pays d'origine.

Si quand on est à plusieurs on voit un restaurant qui sert un plat ayant une certaine originalité, et pourquoi pas une inspiration locale, cela ne conviendra pas en général. Cela risque d'être un peu plus cher et non consensuel. Pour résoudre le problème le restaurant peut avoir deux types de stratégies.

Proposer des burgers et pizzas se rapprochant du standard pour que ceux qui n'aiment pas l'aventure culinaire trouvent leur compte.
Donner une couleur locale aux pizzas et burger. Ce sont des plats faciles à préparer, et avec une marge bénéficiaire importante. Cela permet également aux consommateurs de limiter la dépense.

Curieusement je ne trouve pas facile de réaliser un burger maison similaire à ceux des restaurants. S'il y a des éléments non diététiques comme des frites cela donne un caractère exceptionnel au menu, car je n'en mange jamais chez moi. Je trouve également amusant de le manger car il est très épais avec sa garniture et il s'écroule de façon distrayante dans l'assiette. Je peux donc très bien prendre consommer un burger au restaurant.

L'offre est très variée, mais tout le monde va mettre des burgers et des pizzas au menu. Cela ne rebute pas les clients comme moi, et cela leur permet de venir accompagné de personnes qui se méfient des surprises.

Je ne constate pas une profusion des restaurants à burger, car je les élimine mentalement du paysage, et j'en trouve beaucoup d'autres. En revanche le burger a bien envahi toutes les tables.

Answer 9

Me voilà maintenant arrivée en Vendée depuis hier, et je confirme : je n’ai jamais traversé un pays avec autant de burgers. La France détrône de loin l’Allemagne et les États-Unis.

Et non, je n’exagère pas. Plusieurs articles français en parlent : 80 % des restaurants français, qu’il s’agisse de restauration rapide, de brasseries traditionnelles ou de restaurants classiques, proposent des burgers.

Cela permet de proposer un plat facile à assembler avec quelques variantes.

C’est d’autant plus surprenant que lors de ma dernière visite, il y a presque 5 ans, ce n’était vraiment pas le cas. Est-ce que le Covid a influencé cette tendance ?

D’après mon entourage, cela a généralement commencé avec un seul burger à la carte, même dans des restaurants de poisson. Puis, ils ont ajouté quelques variants et ont peu à peu supprimé d’autres plats plus « complexes » à préparer.

Certaines boulangeries vendent également des burgers à réchauffer.

Je pense cependant qu’il s’agit d’un effet de mode et qu’une fois le marché complètement saturé, les gens finiront par se lasser. Les grands gagnants seront les restaurants qui auront su garder une cuisine locale, simple et accessible.

Le burger était autrefois rejeté comme un symbole de malbouffe, mais aujourd'hui, 80% des établissements proposent le burger à leur carte. Du bistrot au restaurant gastronomique, il se retrouve même sur la table des étoilés.

https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/metiers/restauration-hotellerie-sports-loisirs/burger-l-un-des-plats-preferes-des-francais_4166075.html