Il y a exactement un an aujourd'hui, je vous demandais si les hirondelles et les martinets noirs étaient de retour par chez vous : https://vortext.eu/Page-de-reponses/207/les-hirondelles-et-martinets-sont-ils-de-retour-par-chez-vous
Hier, j'ai pu voir les premiers martinets noirs de retour dans mon quartier, et je suis en train de les entendre actuellement. J'irai à Werder en fin de semaine, où je verrai certainement des hirondelles.
Pour célébrer cela, je vous repose donc exactement la même question cette année : les hirondelles et martinets sont-ils de retour par chez vous ? 😄
Une solution a été mise en place pour permettre le transport des marchandises par camion électrique sur une distance de 900 km.
Le fonctionnement est simple : un camion électrique arrive en station, détache sa remorque, et un second véhicule, prêt à repartir, prend aussitôt le relais. Pendant que le premier recharge ses batteries, il récupère une autre remorque pour un trajet retour. « L’utilisation de camions électriques sur des segments autoroutiers d’environ 300 km permet de contourner les contraintes opérationnelles d’autonomie », expliquent les trois partenaires(1).
Est-ce que cela ne pourrait pas être appliqué d'une manière ou d'une autre aux voitures ?
Il y a au moins trois pistes possibles.
- Changer de voiture
- Dissocier le moteur et l'habitacle, et accoupler l'habitacle avec un nouveau moteur
- Changer uniquement la batterie.
Que pensez-vous de tout cela ?
Continuer à lireJe viens de découvrir cet article : https://www.humanite.fr/en-debat/regard-de-cartographe/la-carte-interactive-qui-recense-les-morts-au-travail-en-europe
Voici la carte la plus récente (2022) de cet article :
On peut constater que le nombre de morts en France (775) est nettement plus élevé qu’en Espagne (411), en Italie (469), en Allemagne (397) ou en Pologne (180), alors que ces pays sont pourtant en tête du classement et présentent une démographie relativement comparable à celle de la France.
Selon vous, qu’est-ce qui explique un tel écart, et comment pourrait-on l’éviter à l’avenir ?
Réponse à la question : Est-ce que notre société perd l'usage de l'écriture, et peut-être de la lecture ?
Rien n'est perdu ! Nous ajoutons des possibilités technologiques qui ne se substituent jamais entièrement aux anciennes technologies. Il est possible d'écrire dans le sable dans la démocratie athénienne et il est possible d'écrire dans le sable sur Facebook et de conserver ses écrits manuscrits ou sous forme de fichiers informatiques.
A chacun de nous de bien identifier son processus d'écriture !
J'ai découvert en lisant un article de Science Post (1) qu'il existait un test de QI supposé adapté aux chiens. Il est décrit dans l'article en anglais en lien (2) , mais voici une traduction (avec deepl.com) suivant deux formats.
Que pensez-vous du test ?
Auriez-vous des idées pour le QI des chats ?
(1)
Continuer à lireUn jeu et une question sur l'or ?
Question : qu'évoque pour vous ce métal précieux ?
Jeu : essayez de ne pas utiliser les lettres "o" et "r" dans la réponse !
Le site nous propose ce titre
Quand la CIA jouait à Indiana Jones: comment l'agence a traqué l'Arche d'alliance à l'aide d'un médium (1)
Comme Slate a parfois la tendance a proposer des titres exagérément racoleurs (2), ou même faux (3), on peut se demander ce qu'il en est dans le cas présent.
Voici ce que j'ai compris. La CIA a mené des tests de vision à distance dans la fin des années 1980. De nos jours il est simple de mettre un logiciel espion sur un portable, et il y a tant de moyen technique à disposition qu'on a tendance à délaisser ces champs d'études, mais c'était plus à la mode dans ces temps là.
Parmi les nombreux sujets testés, un a annoncé avoir vu à peu près la même arche d'alliance que celle du film "Les aventuriers de l'arche perdue". C'est cette anecdote qui a été utilisé pour construire un titre croustillant. J'aurai trouvé plus intéressant d'avoir le compte-rendu complet de l'expérienc...
Continuer à lireVoilà de quoi il s'agit.
Une nouvelle analyse publiée par Oxfam révèle que les 1 % les plus riches ont flambé la part qui leur revenait du budget carbone annuel (à savoir la quantité maximale de CO2 pouvant être rejetée dans l’atmosphère sans entraîner une augmentation des températures mondiales au-dessus du seuil de 1,5 °C) durant les 10 premiers jours de l’année 2025.
A contrario, il faudrait près de trois ans (1 022 jours) à une personne faisant partie des 50 % les plus pauvres pour épuiser sa part du budget carbone mondial annuel.
Ce déséquilibre alarmant, qu’Oxfam dénonce à l’occasion de ce qu’elle appelle « la journée mondiale des pollutocrates », montre à quel point le dérèglement climatique est majoritairement dû aux ultra-riches dont les émissions dépassent largement celles des citoyen·nes ordinaires. Les 1 % les plus riches émettent plus de deux fois plus de carbone que la moitié la plus pauvre de l’humanité(1).
Est-ce que cela ne montre pas que ce qui parait impossible, la réduction de l'empreinte carbone de l'humanité, serait en réalité très simple avec des mesures ciblées ?
Pour pouvoir répondre à cette question, vous devez vous connecter.
Certes c'est profondément choquant.
En revanche n'ayons pas d'illusion : même si on les obligeait à polluer autant que le reste de l'humanité, ce serait un soulagement "moral" pour les autres, mais ne règlerait pas le problème de fond.
Dans quelque domaine que ce soit, "faire payer les riches" soulage les autres, et même peut permettre de régler temporairement des problèmes économiques.
Mais pour régler les problèmes de fond il faut que tout le monde, riche ou pas, s'y mette !
LES RICHES
Cela servirait à quoi d'être riche si on a pas quelques menus avantages ?
Pour apporter quelques précisions : pour faire partie des 1 % les plus riches à l'échelle mondiale, il faut avoir une richesse nette d'environ 1 million de dollars (environ 910 000 euros). Cela inclut l'immobilier, les terrains, les entreprises et autres investissements. Par conséquent, cela englobe de nombreuses personnes dans les pays occidentaux, y compris des membres de la classe moyenne, selon le coût de la vie des lieux où ils habitent. Par exemple, un petit appartement à Toronto ou dans sa banlieue éloignée coûte déjà environ 1 million de dollars canadiens. Il suffit donc d'avoir acheté une maison de banlieue ou un appartement près du centre-ville il y a 25 ans quand les prix étaient encore abordables, pour être considéré « millionnaire » aujourd'hui.
Parmi ces 1% les plus riches, on trouve également les 0,1% d'ultra-riches, qui incluent des milliardaires, des hauts dirigeants de très grandes entreprises, et ceux qui voyagent régulièrement en jet privé ou en yacht, comme mentionné dans l'article (voir ma citation plus bas dans ma réponse).
Pourquoi je précise cela ? Parce que l'article semble ne pas faire de distinction claire entre les 1 % les plus riches et les 0,1 % d'ultra-riches. Or, si l'on veut tenir un discours écologique cohérent, cette distinction me semble importante. Pour mettre en place des mesures ciblées, il faudrait commencer à analyser les populations et leurs habitudes de manière plus précise.
On ne peut pas reprocher à quelqu'un possédant un bien immobilier d'une valeur actuelle de 1 million de dollars de se déplacer en jet privé ou de polluer excessivement par choix. Ce n'est pas forcément compatible.
En revanche, on peut constater que les habitants des banlieues de Toronto, pour reprendre mon exemple initial, sont dépendants de leur voiture pour aller travailler et passent plusieurs heures par jour dans les embouteillages. Cela est principalement dû au réseau de transport en commun extrêmement déficient dans ces zones.
On peut également observer que le manque de régulation des prix de l'immobilier a contribué à rendre la propriété inaccessible pour les nouvelles générations. Cela pousse les habitants à s'éloigner de plus en plus des centres-villes, ce qui les rend encore davantage dépendants de leur voiture.
Je suis d'avis que d'aider ces populations plutôt que de les punir des excès des ultra-riches serait nettement plus judicieux sur le long terme.
L'article parle des 1% des plus riches, mais son discours semble axé sur les ultra-riches :
Une étude totalement inédite intitulée Les inégalités carbone tuent analyse les émissions dues aux jets privés, aux yachts et aux investissements polluants et montre comment les ultra-riches alimentent les inégalités, la faim et la mortalité dans le monde entier.