Les gens qui ont conçu le contrat de mariage (ou sacrement) n'ont pas immaginé que l'on puisse changer de sexe. Mais il est clair qu'il y a rupture du contrat dans ces situations. On se marie avec une personne de sexe opposé, point.

Soit dit en passant, on ne peut pas "changer de sexe". Même si le corps est parfaitement grimé, la vibration reste.

Par contre dans le virtuel, ce genre de situations se produisent. Et elles résultent habituellement par une séparation pour tromprerie. J'ai connu des cas.

En fait le mouvement des "études" de "genre" n'est qu'une des innombrables tentatives d'entrisme des marxistes dans un mouvement, LGBT en l'occurence, afin d'en prendre le contrôle et de lever une armée pour faire comme Lénine en 1917. Pour résumer, "trans" égale "prolétaire", et "cis" égale "bourgeois". Et il nous "faut" donc changer de sexe dans le cadre de la lutte des classes. C'est aussi nul que ça.

Ce peut même être ignoble et criminel, dans le cas d'enfants. Ces derniers ne savent pas vraiment ce qu'est être un homme ou une femme, et ils sont très suggestibles. Ainsi on peut leur faire dire qu'ils veulent changer de sexe, voir on interprétera leurs goûts (couleurs, etc.) comme de la "dysphorie de genre" (Etude par les Dr Diafoirus, Purgon & al.). Ce qui serait un petit jeu d'adultes narcissiques devient un crime grave, quand on donne à des enfants des drogues castratrices, en vente libre sur Internet. Une fois adultes ils se retrouvent laids, avec leurs organes atrophiés ou malformés. C'est bien la peine de dénoncer les mutilations sexuelles en Afrique, si c'est pour faire pareil chez nous.

Ajouté: le Bouddhisme (et toute spiritualité similaire) a une approche bien plus pragmatique: se contenter de ce que l'on a, au lieu d'avoir des attentes impossibles à satisfaire.

Ce qui n'empêche pas de se préparer une réincarnation ou une après-vie. ainsi j'ai connu l'ancien directeur de l'Institut Vajra Yogini qui avait, m'a t-on dit, un yidam féminin, afin de se réincarner en femme, soit dans l'après-vie, soit dans l'au-delà. Mais je pense que sa motivation était plutôt de compassion. Je ne sais pas si il a réussi son projet aujourd'hui, mais bon là où il se trouve maintenant il a probablement plus d'opportunités.

Ou bien ce monsieur

qui a été une femme en Inde il y a 1000 ans. Bon, mais aujourd'hui quand je vais séjourner dans son centre en France, sa règle est "pas de sexe" grrr!

Scenari 1 et 3 :

selon mon caractère, Michel Jonasz donne la réponse dans sa chanson « Dîtes moi » :

 » Dites moi, dites moi, qu’elle est partie pour un autre que moi, mais pas à cause de moi, dites moi ça, dites moi ça »…

Scenari 2 et 4 :

pas certaine que la différence de réponse soit corrélée au sexe. J’imagine qu’il s’agit plutôt du niveau de bisexualité latent de chacun (e).

Certains, certaines peuvent y trouver une façon de vivre une sexualité différente, ou privilégieront l’intensité de la relation amoureuse au delà de la sexualité et acceptent la nouvelle orientation sexuelle de leur partenaire.

D’autres au contraire, ne peuvent envisager l’homosexualité.

Sans vraiment entrer dans les détails, je pense que chaque couple réagirait différemment, qu'il s'agisse du cas de l'homme ou de la femme.

Je pense que si un couple est marié pendant des années et que les personnes qui composent ce couple sont vraiment proches l'une de l'autre, ce genre de scénario ne devrait pas arriver par « surprise », que ce soit une rupture, la découverte d'une potentielle bisexualité, d'une dysphorie de genre ou le désir de transition de genre.

Sinon, cela voudrait dire qu'une des deux personnes jouait un rôle et n'était pas vraiment elle-même au sein du couple ou que l'autre personne n'était peut-être pas très attentive envers son partenaire, car ce ne sont pas des choses qui arrivent du jour au lendemain.