Le site Science Post a publié un article(1), issu d'articles en anglais (2) sur le sujet. Voici des traductions issue de l'article en anglais que j'ai choisi.
L'image de la sonde Pioneer.
Alors que les disques d'or de Voyager contiennent beaucoup plus d'informations, pour le cas improbable où ils seraient récupérés par des civilisations extraterrestres ou de futures civilisations humaines, la plaque de Pioneer n'avait qu'une seule image pour représenter l'humanité, et c'est ce que nous avons fini par envoyer pour représenter l'ensemble de notre espèce, conçue par Sagan, sa femme Linda Salzman Sagan et Frank Drake, célèbre pour son équation de Drake. Traduit avec DeepL.com (version gratuite)
Mon application d’observation m’envoie des notifications. Si le ciel est clair ce soir, je vous invite à regarder vers le nord.
Aurore boréale vue de mon balcon en septembre dernier
Lors de la présentation avant l’Expo Osaka-Kansai 2025, l’entreprise a révélé son dernier concept de robot : Corleo, un cheval robotique propulsé par une pile à hydrogène, conçu pour être monté par des humains.
Kawasaki n’a pas encore annoncé de date précise pour la commercialisation de son engin. Toutefois, l’entreprise a suggéré que le robot pourrait être lancé d’ici 2050 (1).
Voilà une vidéo fictive réalisée avec des images de synthèse.
Qu'en pensez-vous ?
(1) https://sciencepost.fr/grimper-des-montagnes-sur-le-dos-dun-cheval-robot-sera-bient...
Continuer à lireUn objet volant non identifié, généralement désigné sous l'acronyme ovni, est un phénomène aérien que des témoins affirment avoir observé ou qui a été enregistré par des capteurs (caméra vidéo, appareil photographique, radar, etc.) sans avoir pu être identifié, dont on ne connaît pas l'origine ou la nature exacte et qui reste inexpliqué, parfois même après enquête approfondie(1).
Slate publie un article sur le sujet(2).
Un ovni filmé par la marine américaine relance les spéculations sur la vie extraterrestre
Il s'agit de la traduction d'un article en anglais (3) qui cite des publications sur le réseau X (ancien twitter) comme source.
Un joli dessin est montré.
Mais la réalité des observations es...
Continuer à lireJe lis ce titre à propos du salon du livre, en ce moment à Paris
Festival du livre de Paris 2025 : les éditeurs de littérature Young et New Adult déclarent leur flamme à la romance (1)
J'ai l'impression que "Young et New Adult" correspond au lectorat, avant tout féminin, de moins de 25 ans.
Je n'ai pas bien compris ce qui fait la spécificité de la romance comme genre littéraire(2). Je suppose que c'est la proportion consacrée à l'idylle dans le livre qui le fait basculer dans un genre ou l'autre.
Il est rare qu'il n'y ait pas d'histoire d'amour dans un livre, ou dans les autres oeuvres de création. Cela fait partie de la vie après tout. Les séries policières, par exemple, mettent souvent en scène un couple de héros enquêteur et une romance peut se dessiner entre eux. Il y a beaucoup de beaux films avec de belles histoires d'amour.
Avez-vous un avis sur ce succès de la "romance" ?
Est-ce que v...
Continuer à lireRéponse à la question : Aimez-vous votre prénom ?
Oui.
Petit, j’étais un peu mal à l’aise avec, car il était très rare et les gens ouvraient des yeux ronds. On n’aime pas avoir un nom inhabituel quand on est gamin. (Depuis une vingtaine d’années, il a l’air d’être beaucoup plus à la mode.)
Depuis, je l’ai apprivoisé, et finalement je l’aime beaucoup. En hébreu Simon veut dire "(Dieu) a entendu" (ou "[m’]a exaucé"), et bien qu’étant agnostique, j’aime bien cette résonance. Pour plein de raisons, j’aime les Juifs et leur culture, et ça me plaît d’avoir un prénom hébreu.
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Personnellement, je n’en regarde pas, et j’ai un avis très négatif sur le sujet.
Plus jeune, il m’est arrivé de voir quelques extraits, parfois par curiosité, parfois contre mon gré (par surprise). À chaque fois, je voyais de la douleur sur le visage de la femme. Je ne comprends pas comment on peut y voir du plaisir. Elle était systématiquement en position d’humiliation. Ça me rendait physiquement mal, et je n’ai jamais ressenti autre chose que du dégoût.
Quand on présente ce genre d’images comme si c’était une forme de sexualité normale, voire souhaitable, ça ne peut qu’engendrer un certain nombre de problèmes.
La réponse d' @Aramini_Michael porte en grande partie sur ce qui concerne l'industrie de la pornographie. Il raison de souligner que c'est un univers où peut régner la délinquance, le non consentement, et des pratiques condamnables.
Si je m'en tiens à la question "En quoi la pornographie impacte la représentation des femmes dans la société ?", ma réponse va traiter un sujet différent. "En quoi la représentation imaginaire et stéréotypée du plaisir sexuel dans les médias influe sur la représentation qu'on a des femmes dans la vie réelle"
Cela influe sur la représentation qu'on a des hommes aussi, mais ce n'est pas la question. Rappelons qu'il faut mettre systématiquement un préservatif, contrairement aux exemples donnés.
Liens entre pornographie et agressions sexuelle des femmes.
On peut citer des exemples d'agression sexuelle, mais il n'est pas évident de dire que la contemplation de la pornographie les encourage en général, rien ne le prouve et c'est plutôt le contraire (1).
La tendance est qu'il y ait de moins en moins d'agressions sexuelles. On en parle plus car avant ces agressions n'étaient pas condamnées, maintenant elles le sont de plus en plus, et elles sont de plus en plus signalées. Comme il y a de plus en plus de pornographie cela semble indiquer que l'une n'entraine pas l'autre.
On peut rapprocher cela de la violence. On voit de plus en plus de violence dans les médias, et souvent ce n'est pas simulé. On en voit dans les informations et on peut payer pour un spectacle où deux personnes s'agressent réellement. On n'a pas pu établir de lien direct entre spectacle de la violence, et violence dans la vie réelle. Dans notre société il y a de moins en moins d'acte de violence, mais on en parle plus.
Ce qui peut entrainer une hausse des agressions, c'est l'appel à les commettre. L'appel à la violence de la part des mouvements de droite, ou l'appel à l'agression sexuelle de la part des antiféministes peut y contribuer.
La représentation de la femme.
La pornographie a tendance a donner une image stéréotypée de la femme, mais on retrouve la même image dans les séries, les films, les clips ou les publicités. Elle doit répondre à un canon physique particulier. Tout ce qui l'en écarte est désigné comme une imperfection par la société.
Comme la pornographie montre plus des parties intimes du corps, la caractéristique est que les stéréotypes concernent aussi toutes les parties en rapport avec la sexualité.
La femme objet de plaisir stéréotypé.
La pornographie présente la femme comme un être qui éprouve forcément du plaisir sexuel si on suit la bonne recette.
Elle montre des manifestation stéréotypées de plaisir féminin, comme s'il y a avait une seule manière de faire si une femme éprouve du plaisir.
Cela peut perturber les hommes s'ils essayent de mettre en oeuvre les recettes en oubliant qu'ils ont face à une vraie personne, et les femmes si elles essayent d'être conformes au modèle.
Conclusion.
Ma réponse est que la pornographie, et la représentation de la femme en général, donne une vue simpliste et limité des femmes, et c'est dommage...
(1) https://www.slate.fr/story/173823/pornographie-violences-sexuelles-correlation
Note de l’admin : il y a certains propos graphiques dans cette réponse. Pour un public averti.
[longue réponse]
Malheureusement certaine personne pense que la femme est un objet pendant les échanges intimes. Il trouve normale d'être vulgaire ou violent.
Il trouve normale que la femme avale ou même soit adepte d'une éjaculation sur le visage. Ou encore utilise leur bouche comme si c'était un masturbateur. Et au moment de jouir, ils tiennent leur tête sur leur queue.
Même si certaine femme aime ça (si elle vous le demande) beaucoup n'aiment pas.
Certaines le font par peur de perdre leur partenaire ou pour d'autre raison.
Les échanges intimes doivent être respectueux. Ce que vous faites doit être par plaisir (le vôtre). Et votre partenaire le sien. C'est ce qu'on appelle : Le "C.O.N.S.E.N.T.E.M.E.N.T" mais certains ou certaines l'oublient. Le respect mutuel est très important dans les rapports intimes
Si vous aimez pratiquer une fellation profonde, mais pas recevoir le sperme dans la bouche, aucun homme ne devrait vous forcer à subir ça.
Si vous aimez en tant qu'homme les plaisirs prostatiques, c'est très bien. Mais si vous n'aimez pas, c'est très bien aussi. Et aucune femme ne devrait vous planter le godet ou un doigt dans le cul.
Vous n'allez pas apprécier alors c'est la même chose pour la femme.
On ne doit pas se forcer à faire une pratique ou à subir une pratique.
Ce qu'on fait, c'est avec respect et consentement.
Même dans le BDSM, il y a un consentement et un grand respect. Du moment que la personne prononce un mot de sécurité, ça s'arrête immédiatement.
Mais le monde du porno, montre à des jeunes ou des moins jeunes des pratiques qui ne sont souvent pas appréciées par les femmes ou les hommes.
Et tout semble leur faire un plaisir monstrueux, tout est normal. Sauf que ce n'est pas ça le sexe.
C'est vrai que certaines femmes et certains hommes aiment certaines pratiques. Mais ça ne veut pas dire que tout le monde apprécie. Vous devez en discuter avec votre partenaire avant de faire quelques choses qui peut être traumatisant.
Par exemple, beaucoup de femme n'aime pas avoir une main autour du cou. Même si on ne serre pas, le fait d'avoir cette main autour du cou peut provoquer une grande insécurité et être traumatisant.
Pourtant, ça peut être très sensuel d'avoir sa main sur la gorge de l'autre.
Certain homme aime les jeux urétraux ou encore des coups dans les testicules (CBT) avec plus ou moins de force ou encore être pris par sa partenaire (pegging). Mais si votre partenaire vous le fait sans savoir si vous aimez et que vous n'aimez pas. Vous vous sentirez mal. C'est une forme de viol.
C'est la même chose en inverse.
Le porno montre une image glamour, de plaisir, etc. Mais la réalité est tout autre. Les blessures, refus, humiliations, comportements dégradants sont monnaie courante.
Ceux qui en regardent, pour certains vont vouloir reproduire certains comportements. Et quand c'est un jeune qui a ses premiers rapports avec une fille ou femme qui est, elle aussi, inexpérimentée. Ça peut vite devenir très malsain et malaisant. Car pour lui, ce qui l'a vu, c'est "normal" et il voudra possiblement reproduire ce qu'il voit. Parce que "c'est comme ça qu'ils font. C'est que ça doit être bien".
Comme j'ai dit, tout est autorisé du moment que les deux ou + partenaires sont sur la même longueur d'onde et qu'ils ne se forcent pas.
Ce qu'on voit dans le porno n'est pas toujours du plaisir et parfois même illégale.
Exemple avec une enquête récente en France :
Au total, douze personnes sont poursuivies dans cette affaire qui vise une plateforme de vidéos pornographiques. Une cinquantaine de victimes ont été identifiées à ce stade.
Ces trois personnes, dont l’interpellation mardi a été révélée par le Monde et Le Parisien, ont été mises en examen pour “traite d’être humain aggravée” et “viol en réunion” et placées sous contrôle judiciaire.
Deux de ces hommes sont aussi poursuivis pour “diffusion d’images relatives à une atteinte à l’intégrité de la personne” et “exécution d’un travail dissimulé sur plusieurs personnes”. L’un d’eux est enfin également mis en examen pour “proxénétisme aggravé”.
Une cinquantaine de victimes identifiées
Ces dernières mises en examen portent à 12 le nombre de personnes poursuivies dans ce dossier, a-t-on appris samedi de source judiciaire.
Une autre plateforme est également visée en France pour des faits similaires :
Selon le Monde, les enquêteurs soupçonnent la constitution d’un réseau dont les membres ont recruté des jeunes femmes, “par des stratagèmes élaborés”, dans le but de leur imposer des pratiques sexuelles extrêmes et diffuser les vidéos sans leur consentement.
Le site “Jacquie et Michel”, incarnation en France du porno amateur, est aussi visé par une enquête depuis le 10 juillet 2020 pour “viols” et “proxénétisme”.
Deux producteurs et un acteur porno mis en examen dans l'affaire "French Bukkake"
Ce n'est pas rose le porno. Et ça détruit beaucoup de vie, que ce soit directement ou indirectement.
Les hardeuses professionnelles disent que le métier nécessite un coeur et un cerveau en béton. Il faut accepter l'incontournable sexe anal, la double pénétration avec deux mâles, etc.
Plus de 90 % du X est désormais produit par le web où règne le porno-amateur, le low cost de l'industrie du sexe, avec des sites véreux et des cachets bien en dessous du prix du marché - environ 200 euros une "scène" lambda. Beaucoup de débutantes, rêvant de notoriété, se laissent avilir et briser par ce milieu.
"21 jours...Classés X" : la face cachée du porno
« Elle est là pour ça ! Et elle va sourire devant la caméra ! »
Vous pensez qu'elle a aimé être infectée par une IST et se faire dire "Tu fera ce que je te dis, tu es là pour ça. Et tu vas même sourire"
Pour Estelle, c’était dans un appartement parisien. Mal à l’aise, elle avait demandé à ne tourner que des scènes classiques. « Les acteurs étaient d’accord. Mais pas le réalisateur, raconte-elle. Il a répondu : "Non, nique sa mère ! Elle est là pour ça ! Elle va faire ça ! Et elle va sourire devant la caméra"… » Novice, la jeune femme se laisse alors faire. Et le regrette encore plus en découvrant, quelques jours plus tard, que l’un des acteurs lui a refilé une infection sexuellement transmissible. « De l’herpès… Je ne pouvais plus m’asseoir… Il avait falsifié ses tests… »
« Tout se passait bien jusqu’au moment où le cameraman a décidé de venir participer à la scène pour son propre plaisir, s’insurge-t-elle. Ce n’était pas prévu. Et évidemment, lui n’avait pas fait de test. Cela le faisait marrer. J’ai mis du temps à comprendre que c’était un viol. »
Tout comme Aïcha, qui a passé « des heures en boule sous sa couette » après avoir subi une pratique qu’elle ne connaissait même pas en arrivant dans le garage de Bretagne où elle a tourné son premier film. Ou Julie, qui a dû se laisser faire pour que le producteur accepte de la ramener chez elle en voiture. Ou encore Audrey, qui s’est retrouvée à devoir tourner avec un acteur bien spécifique alors qu’elle avait spécifiquement exprimé son refus au préalable…
Dans le récit de ces mauvais films, on trouve toujours le même scénario. Des actrices jeunes et inexpérimentées à qui l’on impose des pratiques non prévues et/ou de multiples partenaires une fois la caméra enclenchée. « Ils misent sur le fait que les filles ne vont pas interrompre le tournage une fois que c’est parti, et ça fonctionne », se désole Manon.
Kim en sait quelque chose. Actrice durant les années 2000, elle se souvient de l’âge d’or du porno où le réalisateur invitait les actrices à déjeuner pour leur expliquer ce qu’il souhaitait filmer avec leur accord. « Il n’y avait pas beaucoup de filles, il n’y avait pas d’Internet. Pour voir du porno, il fallait acheter des cassettes ou s’abonner à Canal +. Les producteurs avaient besoin de nous. Aujourd’hui, si une fille se plaint, on lui fait comprendre qu’il y en a plein d’autres qui attendent dehors… »
Et les pauvres femmes (ou homme) qui subisse ça. Ont beaucoup de difficulté à se faire entendre.
ils ont pris l’habitude de tourner une petite séquence dans laquelle les actrices déclarent qu’elles étaient consentantes et qu’elles n’étaient ni alcoolisées, ni droguées pendant le tournage. Cela afin de se prémunir de tout risque de poursuite.
« C’est le sommet de l’hypocrisie, dénonce Manon. Je me souviens très bien d’une fois où j’ai fait la vidéo alors qu’on avait pris de la cocaïne une demi-heure auparavant… » Mais les actrices doivent se plier à l’exercice juste avant de recevoir leur rémunération. Alors, bon gré, mal gré, elles le font. « Mais le jour où la mienne va ressortir, cela ne sera pas très compliqué de voir que je mens, lâche Audrey. J’étais tellement traumatisée par la scène… »
Des actrices X témoignent des abus sexuels subis lors des tournages
Il utilise des crèmes anesthésiantes pour les rapports anaux sinon la douleur serait trop forte.
Et des blessures graves peuvent se produire.
L'actrice Adriana Chechik a rapporté en 2021 les blessures qu'elles avaient eues sur des plateaux de tournage lors de l'émission The Plug Podcast : des lésions au cou, à la colonne vertébrale et au tronc cérébral lors "d'ébats brutaux".
La star du X a également rapporté, selon le New York Post, souffrir d'une hernie discale. Elle devait dans un autre temps participer à une orgie pendant sa convalescence et que son médecin traitant l'en avait dissuadé. "J'ai le cou en compote maintenant. J'ai un nerf pincé et mes C6 et C7, disque de la colonne ne sont pas à leur place" a-t-elle témoigné.
Une star du X révèle les pires blessures de tournage de films porno
Les scènes de plaintes, douleurs, refus sont coupée au montage.
Ces dernières années, plusieurs stars du X – Adeline Lange, Priscila Sol, Raffaëla Anderson dans son livre Hard (Grasset, 2001)… – ont témoigné combien leur métier peut être rude, éprouvant, violent, parfois humiliant : la sodomie est précédée d’un lavement, une « gorge profonde » peut déclencher des vomissements, des réalisateurs pratiquent la surenchère au détriment des actrices, etc. Le public masculin amateur ignore bien souvent la dureté des tournages – ou feint de le faire, s’en délectant souvent avec sadisme. Il faut dire que les moments difficiles (renvois, refus, douleurs, plaintes, etc) sont coupés au montage, et que les magazines de hard n’en parlent pas : il faut laisser croire que les actrices adorent leur métier, puisqu’elles tournent de joyeux ébats sexuels…
Pour la réalisatrice, qui a enquêté plusieurs mois avec un journaliste d’investigation, le cinéma X connaît depuis quelques années une escalade dans les mauvais traitements infligés aux actrices. Elle l’explique ainsi : l’apparition sur Internet de « tubes » comme YouPorn, PornHub, diffusant gratuitement des vidéos piratées, attirant l’immense majorité du public du X, a mis sur la paille la plupart des studios pornos, qui se rétribuent en pay per view (PPV ou paiement à la séance). Or, ceux-ci maintiennent certaines conventions sur les tournages pour éviter l’abattage à la chaine : ils contrôlent la maltraitance, imposent des certificats médicaux, protègent leurs stars, les réalisateurs écoutent les récriminations des acteurs.
Résultat, des petites productions se montent, qui ne respectent aucune règle sur les tournages et maltraitent les actrices ; quant aux studios, ils suivent le mouvement pour rester dans la course à un public de plus en plus sadisé. Alors, « en bout de chaîne », les actrices (mais aussi les acteurs gay) endurent, et les plus démunis doivent accepter des tournages agressifs et humiliants – traumatisants, comme le rappelle Raffaëla Anderson dans son livre témoignage Hard (Grasset)
PORNO (4). VIOLENCES SUR CERTAINS TOURNAGES. L’ARRIVÉE DU « ETHICAL PORN »