Une réponse rapide, et sans doute pas très élaborée, je m'en excuse d'avance.

Mais c'est surtout une façon

• de vous dire "Coucou, heureuse de vous retrouver, moi aussi, je suis là !"
• et de tester les possibilités offertes à ceux qui répondent.

Bref.

LA série de jeux qui m'a vraiment marquée, c'est celle des Final Fantasy.

Avant ça, il y a eu quelques petits jeux électroniques de poche, puis la Game Boy que j'ai offerte à mon fils. Pas d'ordinateur, hélas, parce que je n'avais pas les moyens. Mais les jeux sur Game Boy étaient vraiment soignés.

Ensuite, la NES, puis, enfin, la Super NES, alias SNES.

Et c'est un jeu sur SNES qui m'a éblouie, et fait découvrir le monde fabuleux des RPG : le style de jeu qui me convient le mieux. Ça ne demande ni nerfs d'acier, ni réflexes fulgurants (dont je suis totalement démunie), mais de la patience et un peu d'astuce.

Ce jeu, c'était Final Fantasy VI.

Un jeu passionnant, plein de quêtes, de secrets à découvrir.

Un monde immense à explorer, et une seconde carte du monde, avec une aventure aussi longue que la première alors que vous pensiez avoir terminé le jeu .

Des personnages aux talents variés, tous intéressants.

Un méchant complètement foutraque.

Pour moi, FFVI est le meilleur de la série.

De loin.

Doom est arrivé en réseau sur ma machine au travail. L'internet n'existait pas encore en France, mais nous avions une ligne spécialisée à 64 ou 128 bauds pour relier l'établissement au siège aux États-Unis. Le réseau s'est effondré. Ça a duré cinq minutes.

Plus intéressant, Sim City dont l'algorithme avait été conçu par des fascistoïdes décomplexés. Pour gagner, il suffisait d'établir un univers bien répressif et brutal. Ça n'a pas duré longtemps.

-------

Ah petit souci d'envoi : ma réponse est partie, mais le message « envoi en cours » demeure.

Un des jeux qui m'a le plus marqué dans mon enfance, c'est flight simulator 98.

Je n'ai jamais eu l'occasion, dans mon enfance, de mettre les pieds dans un avion. Et le jour ou j'ai installé ce jeu sur l'ordinateur flambant neuf de mon père, ça a été une révélation. J'adorais voler, et je me débrouillais plutôt bien.

J'avais 10 ans. 5 ans plus tard, je prenais mes premiers cours de pilotage IRL à l'aéroclub des grèves du Mont-Saint-Michel. Ce qui m'a ensuite poussé vers les études techniques.

Baldur's Gate, Medal of Honor, Elder scrolls III & IV, sinon, plus intellos, Myst, et surtout The Last Express dont l'ambiance était formidable avec une intrigue à tiroirs bien tordue comme je les affectionne.

Les jeux qui m’ont marqués, ce n’est pas ce qui manque.Surtout quand comme moi, on joue aux jeux-vidéos depuis la petite enfance. Plutôt que de faire une réponse fleuve sur les titres qui m'ont plus le plus marqués, je vais me contenter de juste les citer et d'en présenter un seul que je recommande trés chaudement à découvrir.

Les jeux qui ont le plus grand impact sur ma vie sont:

Zelda Link's Awakening, qui est le jeu qui m'a fait aimer le jeu-vidéo comme médium.

Suikoden II, qui est encore le seul jeu à ce jour à avoir réussi à me faire ressentir autant d'émotions.

Final Fantasy Tactics, qui a presqu'à lui tout seul tracé mon avenir professionnel.

Fire Emblem Echoes Shadows of Valentia, qui est le jeu qui m'a fait remonter la pente au moment où j'en avais le plus besoin.

Ys VIII, qui me correspond tellement que c'est le jeu que j'aurais fait si j'étais game designer.

Doki Doki Literature Club, qui m'a traumatisé bien comme il faut (en bien !) et m'a fait découvrir le potentiel des Visual Novel.

[Je vais rajouter une photo d'illustration plus tard]

Maintenant, j'aimerais parler de ma recommandation:

[Toutes les images appartiennent à Vanillaware et à ses éditeurs: Atlus et Sega]

Il s'agit d'un hybride Visual-Novel / Stratégie en temps réel sorti en 2019.

Les deux gameplays sont clairement séparés avec un mode pour chacun, mais il faut alterner de temps à autre pour faire avancer le jeu.

[Illustration du mode stratégie - crédit screenshot: pieuvre.ca]

L'intérêt du jeu ne repose pas vraiment sur la stratégie, qui se résume à un tower defense avec des mechas, mais plutôt à son scenario.

[Illustration du mode scenario - crédit screenshot: psprices.com]

Il y a 13 protagonistes dont on peut suivre l'histoire dans l'ordre que l'on souhaite (plus ou moins) et dont les histoires sont fortement imbriquées entre elles. Ce qui est génial, en dehors de la grande liberté que ça laisse, c'est que le scenario général ne se dévoile que petit à petit, avec des indices parsemés ça à et là dans les différents scenarios des personnages et c'est au joueur de faire les rapprochements pour comprendre ce qu'il se passe vraiment.

Le scenario est vraiment intelligent, crée sciemment des fausses pistes et joue sur les clichés du genre pour mieux nous surprendre. Il s'agit pour moi du scenatio le mieux écrit que j'ai vu, tous médias confondus, et de très loin, il ose s'aventurer dans certains tropes du genre en les sublimant. Je n'ai par exemple jamais vu le voyage temporel aussi bien utilisé alors que c'est casse-gueule d'habitude.

Si vous êtes sensibles un tant soit peu à la SF, vous allez adorer.

Et puis, il faut le dire, la patte graphique est magnifique.

[crédit screenshot: psprices.com]

Tétris version Windows, car j'étais arrivé au niveau 10. Je ne faisais pas long feu, mais c'était le top, et cela veut dire que j'avais survécu aux niveau précédents.

Bien que je sois pas un gamer assidu, certains jeux m'ont pas mal marqué. Je suis un fan des jeux solos action-aventure. Un peu à la Uncharted, et plus récemment Ghost of Tsushima. Bien évidemment, il y a également la série de jeux The Last of Us, qui est pour moi un modèle du genre.

Mais j'aimerais ici surtout mettre en avant un jeu narratif, qui m'a énormément marqué. Et auquel je pense souvent, même si cela fait des années que je l'ai terminé

Il s'agit du premier Life is Strange. Il raconte l'histoire de Max et Chloe, deux ados qui vivent dans l'Oregon. Max est l'ado introverti, timide et réservé. Et Chloe est l'exacte inverse, volubile, rebelle, désinvolte. Elles vont ensemble enquêter sur la disparition d'une amie de Chloe, Rachel. Si l'histoire peut au départ paraître tout à fait banale, et déjà vue, c'est surtout le traitement qui en est fait qui est intéressant. Je ne vais pas spoiler l'histoire. Mais au-delà de cette investigation, c'est aussi une histoire sur la quête de soi et sur l'acceptation. Life is Strange est un de ces jeux qui une fois qu'on le termine, nous marque. Il est en plus servi par un doublage de qualité, et une BO incroyable.

Life is Strange 2, bien qu'étant une histoire complètement différente, avec des personnages différents est tout aussi bien. Tout comme Life is Strange : True Colors

Packman huhu